En 1975, Carolee Schneemann a donné une performance théâtrale intitulée « Interior scroll ».
Cette pièce a été joué à New York et au Festival de Telluride, au Colorado. Le rituel de Carolee était controversé. Elle se tenait nue sur une table, son corps peint avec de la boue. Ensuite, elle extirpait lentement un rouleau de papier de son vagin afin d’en faire la lecture.
J’ai pensé au vagin de nombreuses façons – physiquement, sur le plan conceptuel: comme une forme sculpturale, un référent architectural, les sources d’un savoir sacré, l’ecstasy, le passage de la naissance, la transformation.
J’ai vu le vagin comme une chambre translucide dans laquelle le serpent était un modèle extérieur: animé par son passage du visible à l’invisible, une bobine en spirale annelée avec la forme du désir et des mystères génératifs, des attributs à la fois la puissance sexuelle féminine et masculine. Cette source de connaissance intérieure sera symbolisée par l’index primaire unifiant l’esprit fédérateur et de la chair dans le culte de la déesse.
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Voici la bande-annonce de « Breaking the frame », un film qui la met en vedette.